L’avion de combat du futur franco-allemand n’est pas qu’une promesse, il se fera, a annoncé mardi soir la ministre des Armées, Florence Parly. A l’occasion de la réunion des ministres européens de la Défense, qui s’est tenue lundi à Bruxelles, Florence Parly a rencontré longuement son homologue allemande, Ursula von der Leyen, pour lever toutes les ambiguïtés sur cet ambitieux projet. Il s’agit ni plus ni moins que d’imaginer le système qui remplacera les chasseurs Rafale français et les Typhoon allemands à l’horizon 2040. Un programme de plusieurs milliards, structurant pour l’industrie aéronautique européenne. Il s’agit d’un nouvel avion mais aussi de l’escadre de drones qui l’accompagneront pour les fonctions de leurre, de renseignement, de saturation, etc. Soit un système complet associant un avion de combat de nouvelle génération, des drones, des avions existants encore en service après 2040, de futurs missiles de croisière et des drones évoluant en essaim. « La réunion, très positive, a permis de cranter les avancées », explique-t-on dans l’entourage de la ministre. Comme promis en juin, la France prend bien le leadership dans ce projet, l’Allemagne étant leader sur l’autre équipement mis en commun à l’avenir : le char. Les deux ministres ont convenu de débloquer dès janvier un premier contrat d’études d’architecture sur le futur système d’une durée de deux ans. Mais en parallèle, les deux ministres se sont aussi engagées à lancer des contrats pour des démonstrateurs dès la mi-2019 lors du Salon du Bourget. Une excellente nouvelle pour les industriels, avec une certaine clarification.
Curieusement le montant des sommes dépensées à ce jour en recherche-développement sont inconnues, à part quelques estimations de la presse spécialisée aux alentours de 10 milliards d’€. En l’absence de ce coût les prix annoncés sont fictifs (notamment les 40 md €). Pourquoi avez vous enlevé le rafale des avions furtifs? Bonjour, Pour moi la cinquième géneration pour le Raptor et pas pour le Rafale (multirôle à furtivité active, dont l’avionique est beaucoup plus sophistiqué)ce n’est que de la propagande americaine. Aujourd’hui le Rafale est le meilleur avion de combat du monde malgré les anglosaxons. Typhoon est bien au dessous, ce soit AA ou AS pour ne pas dire qu’il n’est pas navale ni capable de lancer un bombe nucléaire, et les ricains sont obligés à construir le F-35 vu l’inutilité du F-22 pour l’attaque. Mais j’ai une question. Quelqu’un d’entre vous connait si Dassault et Snecma ont pensée à la pousée vectorielle pour le Rafale? «Le SSJ100 est une fusion de la célèbre conception de l’aviation russe et des compétences de production avec les derniers systèmes des principaux fournisseurs aéronautiques du monde entier», a précisé le chef de la délégation russe. Il ajoute que ses appareils ont un coût d’exploitation moindre par rapport à ses concurrents européens et présente des atouts à la fois écologiques et économiques. Le partenariat entre AFREXIMBANK et le constructeur russe, Sukhoi, s’inscrit dans une dynamique de renforcer les moyens de communication et de transport notamment des avions ou le financement des infrastructures comme les aéroports. «Nous avons pris l’initiative d’entrer en partenariat stratégique avec la Russie, pour le financement de ces moyens de transports et infrastructures en Afrique», a notifié M. Awambeng. Et de poursuivre que c’est dans ce cadre que s’inscrit leur tournée africaine avec le Sukhoi superjet 100, qui est un avion commercial russe fabriqué pour parcourir jusqu’à 7 heures de vol et qui peut prendre jusqu’à 100 personnes. L’objectif de cette tournée, a-t-il relevé, est de discuter avec les autorités burkinabè, pour voir si Air Burkina peut l’acquérir pour ses différentes lignes.
À l’époque, les accusations de corruption avaient porté sur des contrats de modernisation électronique des avions de combat F-16 de l’armée belge. Ceux-là même que la Belgique souhaite remplacer aujourd’hui pour moderniser son escadre. En Belgique, d’autres voient dans le choix des avions de chasse américains, vol en avion de chasse Reims une victoire des nationalistes flamands réputés atlantistes. Les déclarations des ministres francophones du gouvernement laissent en effet percevoir une volonté de justifier la nécessité pour la Belgique de la décision d’acheter des F-35. Didier Reynders, leader francophone. De son côté, le Premier ministre, Charles Michel, francophone lui aussi, a voulu parer aux critiques en vantant des achats militaires qui s’inscrivent « à la fois dans le cadre de l’Otan et dans le cadre européen ». La Belgique a effectivement commandé 442 blindés à la France, pour un contrat d’une valeur de 1,5 milliard d’euros. Pour Christophe Wasinski, il s’agit d’ »une opération de communication du gouvernement belge ». Si l’annonce de cet achat semble une compensation, l’universitaire estime lui que « Charles Michel a cherché à noyer le poisson en disant qu’il n’achetait pas que du matériel américain, alors que la star de ces acquisitions est bien le F-35 ».
D’autres activités doivent ou peuvent utiliser des moyens aériens mais, le plus souvent, les appareils sont adaptés et non pas conçus pour ces missions. On peut citer le remorquage des planeurs, le largage de parachutistes ou l’ambulance aérienne. L’activité la plus importante de cette catégorie est l’école et l’entraînement au pilotage où des moniteurs utilisent des appareils légers pour former et entraîner les futurs pilotes privés ou professionnels. Ces activités peuvent aussi faire appel à l’hélicoptère. Le pilote, et éventuellement quelques passagers, pratique la navigation aérienne en utilisant des avions légers et en se déplaçant le plus souvent à l’aide des repères au sol définis à l’aide d’une carte aéronautique. Cette activité est donc dépendante des conditions météorologiques minimales exigées. Pour pouvoir piloter ce type d’aéronef en France, un brevet de base BB (vol de 30 km autour d’un aérodrome) ou une licence pilote privé LAPL ou PPL est exigé. Des aides pour les jeunes existent, notamment le BIA (brevet d’initiation aéronautique).
Pendant la première année, près de 2 000 passagers furent transportés et on entreprit alors de créer des avions spécialement étudiés pour le transport des passagers, c’est ainsi que le Model 80 fut lancé. Dans les années qui suivirent, Boeing se mit à acquérir de nombreuses entreprises de fabrication d’avions, de moteurs, des compagnies aériennes et en 1929, Boeing changea son nom en United Aircraft and Transport Corporation. En 1934, Boeing est devenu une grande entreprise fabriquant des avions, des moteurs, transportant le courrier postal, s’occupant des aéroports et assurant de nombreuses lignes aériennes. Boeing Airplane Company, responsable de la fabrication dans l’Ouest du pays. Peu après, un accord avec la compagnie aérienne Pan American World Airways fut signé, pour développer et produire un hydravion commercial capable de transporter des passagers sur les routes transatlantiques. Le Boeing 314 Clipper fit son premier vol en juin 1938. C’était le plus gros avion civil de son temps, il pouvait transporter 90 passagers sur les vols de jour et 40 passagers sur les vols de nuit. Un an après, la première ligne commerciale des États-Unis au Royaume-Uni fut inaugurée.